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2012 fût, on peut le dire une mauvaise année pour le secteur de l'immobilier avec un recul d'activité de 20%, une baisse des transactions liées au contexte social et forcement une crise au sein des professionnels avec de nombreuses fermetures d'agences.
Peut t'on parler d'année charnière, aux vues des prévisions? Tout laisse entendre que oui, les indicateurs sont au rouge, on va vers l'explosion de la bulle spéculative. Concernant le contexte économique rien de bon n'est annoncé, pas ou peu de croissance, une continuelle augmentation du chômage ... rien qui pourrait mettre en confiance d’éventuels futurs acquéreurs.
Alors quelle est la solution? Le président d'ORPI l'a déjà laissé entendre, une baisse de prix de 5 à 15% relancerait les transactions. Sur 2012, le délai pour vendre un bien a dépasser les 100 jours en moyenne, les acheteurs prennent le temps, négocient le prix de vente, par exemple pour les appartements vendus, la baisse est de -9,6% par rapport au prix d'origine pour l'année 2012. Preuve que la baisse est possible.
Le point positif est le taux d’intérêt qui n'a jamais été aussi bas et qui peut décider certains indécis(es), sur ce point pour l'instant les voyants restent au vert, plus de baisse annoncée mais surtout aucune hausse n'est en vu dans le contexte actuel.
Merci pour cet article. C'est vrai que les transactions ont chuté en nombre au cours de l'année 2012... et je ne suis pas sûr que ça reparte cette année.
RépondreSupprimerAu début de cette année, on peut effectivement dire que le marché immobilier n'a pas encore décollé malgré la nouvelle loi Duflot en vigueur, et les innombrables baisses tant sur le taux que sur le prix!
RépondreSupprimerC'est vrai que les prix sont en baisse, mais pas partout. En tout cas, on arrive à trouver des biens à prix très attractifs (par exemple moins de 1000€ / m² en bon état) dans le Haut-Rhin (Alsace). Je pense que c'est plus ou moins partout la même chose, sauf dans les zones très prisées évidemment.
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